•  

    Sources

    -         Le rire, Livre documentaire. Auteur : Gilbert ROZON

    -         Quinze muscles faciaux et quelques bruits involontaires, Courrier International. Auteur : Jim HOLT.

    -         Le cerveau, Livre documentaire. Auteur : Emile GODAUX

    -         Le rire, Livre documentaire. Auteur : Henri BERGSON

    -         Rire, pourquoi faire ? Anthologie. Auteur : Hélène SABBA

    -         Rire et faire rire, Livre documentaire. Auteur : Lionel BELLENGER  

    -         Mémoire de psychomotricité, Livre documentaire. Auteur : Willy LAFRAN 

    -         http:/www.écoledurire.org. Site Internet

    -         http://www.larousse.fr/encyclopédie Site Internet

    -         http://www.Assodyvi.free.fr/rire/cerveau/html. Site Internet

    -         http:/ /www.Future-science.com/fr/news/t/vie/-le-rire-active-une-région-précise-du-cerveau.Site Internet  

    -         http://www.effi-science.com

    -         Passport.net : thérapie par le rire. Site Internet

     

    Remerciements

    Pour la réalisation de ces Travaux Personnels Encadrés, nous tenons tout d'abord

    à remercier Corinne Schillinger, la thérapeute par le rire qui a répondu à nos

    questions et nous a fait découvrir la Rigologie®. Nous remercierons également nos

    professeurs, qui ont su nous mettre en garde lorsque nous nous égarions de notre but.

     

    Merci de nous avoir lu, et... Ne prenez surtout pas notre travail à la rigolade !

     


  •  

          Le rire, aujourd’hui, est un aspect si inhérent à la nature humaine, que les scientifiques, tels que les psychologues et les neurologues, se sont mis à l’étudier il y a peu de temps. Grâce à leurs recherches, nous avons pu répondre à la question que nous nous posions au départ : Peut-on parler de physiologie pour le rire ?

          La première partie a été concluante à notre questionnement. En effet, nous pouvons la rattacher à une définition générale de la physiologie qui est une science étudiant des activités basiques comme la reproduction, la croissance, le métabolisme. Nous avons expliqué que le premier rire a retenti à l’époque de l’homme de Neandertal, que les enfants commençaient à rire dans les environs du deuxième mois, et que les points de vue du rire, au cours des années a énormément divergé. Ces informations nous font comprendre que le rire fait partie de ces activités basiques et que c’est un phénomène que l’on peut l’étudier.

        Nous avons poursuivi notre raisonnement en étudiant le trajet du rire dans le corps humain. Nous avons observé qu’il est un véritable mécanisme qui, déclenché par un stimulus, active différentes zones de notre cerveau. Il va ensuite induire la création de substances chimiques libérées par les neurotransmetteurs. Puis grâce aux différents nerfs, les systèmes musculaire et respiratoire sont sollicités. Cette partie a consolidé notre idée, car nous pouvons clairement associer le rire à une définition de la physiologie qui est une science étudiant les phénomènes physiques et chimiques subis par l’organisme, dont le rire fait également partie. Nous savons aussi que, le rire, arrivé à son point culminant se transforme en « fou rire ». Même si les neurologues n’ont pas encore trouvé précisément les causes de cette amplification, ils savent que ce fou rire engendre un état d’hystérie et comprennent qu’un changement se produit dans notre organisme.

         Enfin, dans la dernière partie, nous avons argumenté sur le fait que les scientifiques ont aujourd’hui réussi à prouver que le rire était bénéfique pour notre bonne santé, et qu’il était essentiel de rire pour évacuer le stress accumulé dans notre système nerveux. Des médecins, nommés rigologues, soignent même à présent leurs patients par le rire. Nous avons appris qu’après une longue séance de Rigologie, nous pouvions ressentir un bien-être en nous. Ces deux informations signifient que le rire peut être rattaché à notre bonne santé et qu’il nous apaise et nous déstresse.

     

         A l’aide de toutes ces preuves, nous pouvons maintenant répondre à notre problématique.  Le rire est une activité du corps humain qui sollicite nombre de nos muscles et organes. Sachant que l’on peut parler du rire comme étant un réflexe propre à l’homme, que l’on peut également parler du chemin qu’il parcourt dans le corps et de ses bienfaits pour notre organisme, nous pouvons bien parler de physiologie pour le rire.

     

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  • 2- La rigologie

      Depuis quelques années, un nouveau métier a été créé : la Rigologie ®, plus communément appelé " la thérapie par le rire."

    Définition de la Rigologie® :

    La Rigologie ® , a été élaborée en 2002 par Corinne Cosseron, fondatrice de la premier école du rire et du bien être au monde. Il s'agit d'un ensemble de techniques psycho-corporelles et émotionnelles destinées à stimuler la joie de vivre, l'optimisme, la créativité et d'une manière plus générale la bonne santé mentale et physique.

       Ces thérapeutes recoivent généralement des personnes dépressives ou soumises à un stress quotidien. Ils utilisent les quatre émotions principales pour aider leur élèves : la joie donc, mais aussi la tristesse, la colère et la peur. Ils procèdent par étapes, en cinq séances. A chaque séance, ils font travailler leurs patients sur une des quatres émotions fondamentales, et à la dernière séance,  ils retravaillent le sentiment de joie.                          

    Ce système  constitue  une boucle qui part du sentiment de la joie, pour, en dernier, y revenir. Les patients qui viennent à une séance n'y vont pas pour rire mais pour être pris en main et soignés. Chaque séance est un nouveau travail d'introspection permettant de faire le vide, de comprendre ses maux... D'une personne à l'autre, les effets et les ressentis seront variables.

     

    Mais pourquoi n'utilisent-ils pas seulement le rire pour guérir ? Un peu d'histoire peut nous aider à mieux comprendre.                                                       Selon Platon, il existerait depuis toujours, un principe ancré dans les mentalités selon lequel les principaux sentiments et ressentis seraient partagés entre la femme et l'homme. Ce principe, nommé "La Diligence de Platon", est la métaphore imagée du corps humain où la diligence et son habitacle représentent le corps ( plan physique ), les chevaux désignent les émotions ressenties ( plan émotionnel ), le cocher représente la raison qui gouverne les diffèrentes pulsions ( plan mental ) et le voyageur à l'intérieur de la diligence, symbolise le sens incertain et propre que chacun donne à sa vie ( plan spirituel ).                                                                                                      D'après ce principe, les émotions fontamentales auraient été réparties : l'homme aurait hérité de la colère et de la joie et aurait été interdit de ressentir de la tristesse et de la peur. A l'inverse, la femme aurait hérité des sentiments de tristesse et de peur, mais aurait été interdite d'être en colère et d'éprouver de la joie intense.  

    Même si ce principe parait exagéré de nos jours, il persiste toujours,comme un véritable héritage de nos ancêtres ! Ainsi, nous savons tous que les hommes pleurent moins que les femmes, du moins en public, qu'ils se mettent facilement en colère et qu'ils n'avouent que difficilement avoir eu peur, soyons honnêtes!          

    Pour illustrer ce que nous venons de dire, prenons l'exemple d'un père et de son fils se promenant dans la rue. Le fils traverse brutalement la rue pour récupérer le  ballon qui lui a échappé des mains et manque de se faire écraser par une voiture. Il arrive heureusement sain et sauf de l'autre côté. Que fait alors le père? Il se dirige vers lui, le gronde très fort, le punit peut-être et reste de marbre jusqu'au retour à la maison. Cet homme a eu extrêmement peur, vous l'aurez compris, mais n'a pas montré son émotion à son fils. Cette peur s'est alors transformée en colère.

    Les rigologues, pensent que si les sentiments devenaient identiques pour tous, les hommes comme les femmes riraient plus et seraient alors mieux dans leurs peaux et plus détendus. C'est pourquoi ils procèdent à ces séances où ils apeurent, font pleurer, crier, et rire les patientes ecomme les patients.

    Ces thérapeutes procèdent aussi à des "jeux publics" qu'ils réalisent dans les grandes villes, comme Paris et Lyon. Ces jeux consistent à détendre la foule généralement stressée, à cause des tracas quotidiens, pendant les coupures d'une journée de travail ( c'est-à-dire le matin, à la pause de midi, après le travail ). Les rigologues essayent de cerner chaque personne afin de les faire rire et de les déstresser.                                                                    Ainsi, un groupe de rigologues l'an dernier, s'est éparpillé dans les rames d'un métro. L'un d'eux a commencé à rire bruyamment, puis lorsque le second l'entendait, il l'imitait et ainsi de suite. Les parisiens n'ont pas trouvé cela à leur goût et très peu les ont suivis dans leur fou rire, ce qui confirme nos chiffres selon lesquels 69% des français rieraient moins de 3 minutes par jour.

       Après ces explications, certaines questions nous taraudent: Comment font-ils pour faire ressentir à leurs patients tous ces sentiments, comment se déroule une séance de Rigologie ®                                                                   Nous avons donc assisté à une séance "découverte" de Rigologie ®, avec une rigologue experte, Corinne Schillinger ( précisons qu'ils ne sont que 17 en France ), qui nous a présenté en deux heures son métier et sa façon de procéder. Dans le cadre  d'une séance "découverte", nous avons vécu toutes les étapes  en une séance. Cette dame nous a fait faire des petits exercices qui concernaient à chaque fois une émotion ou toutes en même temps. Par exemple, le premier consistait à tous se mettre en rond et se faire passer un stylo en disant " Tiens, je te le donne..." "Qu'est ce que c'est" devait alors répondre le voisin " C'est un bout pointu , et un bout rond". Et tout cela en variant nos expressions. Nous devions donc le dire en pleurant, en riant, en étant en colère et en ayant peur.

    Cette expérience nous a beaucoup aidées à comprendre ce que l'on entend par " Rigologie" et nous a également beaucoup fait réfléchir sur notre propre personne. Nous nous sommes rendues compte qu'en sortant de ces séances, les personnes pouvaient être changées et voir la vie, le quotidien et le stress de tous les jours d'un autre oeil. 

     La Rigologie est un métier qui nous aide donc, à travers le rire, à guérir nos maux.

    NB: La Rigologie ®,   étant une marque déposée, nous sommes dans l'obligation de rajouter ce signe : "®".

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  • Les médecins en sont désormais persuadés : le rire a des effets bénéfiques sur la santé. Et pas seulement sur le psychique. Exercice musculaire et respiratoire, il détend l'organisme jusqu'à pouvoir le soulager de douleurs physiques aigües. Certaines personnes, dont la profession est nommée "Rigologie", ont tenté d'utiliser le rire pour aider des personnes ayant des problèmes physiques, psychologiques, sociaux, etc, effectuant à travers lui une véritable rééducation émotionnelle.

    Ainsi, toujours dans la bonne humeur, nous avons décidé de nous pencher un peu sur le sujet...

     

    1-Les aspects thérapeutiques du rire

     

    En 1781, dans son célèbre traité philosophique, Kant a écrit : "Le rire produit une sensation de santé en renforçant les phénomènes physiques vitaux, l'affection qui remue les intestins et le diaphragme ; de sorte que nous pouvons ainsi atteindre le corps par le moyen de l'âme et utiliser la seconde comme médecin du premier".

    L'idée que le rire puisse avoir des vertus thérapeutiques n'est donc pas nouvelle.

    La question que l'on peut à présent se poser est la suivante : Cliché ou science ?

    Les chercheurs, nombreux à avoir étudié le sujet, se sont prononcés : pour eux, les idées reçues n'y sont pour rien dans la réputation que possède le rire d'être bénéfique pour le corps humain. En effet, physiologiquement, comme nous l'avons vu précédemment, le rire est avant tout un exercice musculaire qui mobilise une grande partie des muscles de l'organisme, du visage aux membres, en passant par les abdominaux et le diaphragme.

    Vingt secondes d'hilarité représentent l'équivalent de trois minutes d'exercice intensif, car il nettoie et libère totalement les voies aériennes supérieures.

    [ Définition des voies aériennes supérieures (VAS)  : elles correspondent à l'ensemble des conduits où l'air circule depuis le nez ou la bouche, jusqu'aux poumons. Elles comprennent principalement les fosses nasales, la cavité buccale, le pharynx, le larynx et la trachée. La majorité des tissus le constituant est recouverte de cellules ciliées (on dit d'une cellule qu'elle est ciliée lorsqu'elle est munie de cils vibratiles sur les bords, qui lui permettent de se mouvoir) qui, associées à la production de mucus, permettent de réchauffer, humidifier l'air, mais surtout de le débarrasser de ses impuretés.

    Voici un schéma de ces voies aériennes supérieures, que nous avons simplifié puis légendé :

    (Cliquez sur l'image pour agrandir). 


     De plus, le rire est un excellent stimulant cardio-vasculaire qui diminue la tension artérielle, favorise les échanges pulmonaires et le brassage hépatique, ce qui fait baisser le cholestérol...

    Petite explication du rôle du rire dans la baisse du cholestérol

    Comme vous le savez sûrement, la présence de cholestérol dans le corps est dûe à plusieurs facteurs possibles, tels que la consommation régulière ou excessive d'alcool, une nourriture trop riche en graisse ou la prise de certains médicaments. Ces facteurs, en eux-mêmes toxiques, occasionnent des perturbations biologiques hépatiques, que l'on peut détecter grâce à un bilan sanguin.

    Les cellules hépatiques détruites lors de ces perturbations déversent dans le sang des enzymes telles que les transaminases et gamma-GT (gamma glutamyl transpeptidase). Le problème, c'est qu'une élévation anormale de ces enzymes dans le sang témoigne d'un phénomène appelé 'apoptose hépatocytaire' : c'est la mort de certaines cellules du foie. Cette apoptose hépatocytaire est le signe d'une possible atteinte hépatique, et c'est dans ces conditions déséquilibrées que le foie se surcharge en graisse, et donc qu'apparaît le "mauvais" cholestérol.

    Le rire, quant à lui, avec à son rythme saccadé, brasse activement les viscères et cela a des incidences sur plusieurs organes du corps humain dont, précisément, le foie. Le brassage hépatique qu'il effectue alors contribue à la restauration de membranes cellulaires endommagées, et à la baisse du taux de transaminases et de gamma-Gt dans le sang.

    Le rire contribue donc à la baisse du taux de cholestérol dans le corps ! Ainsi, indirectement, il contribue également à la prévention contre les accidents cardio-vasculaires.

    Le rire a également un impact très positif sur l'appareil digestif. Outre la gymnastique abdominale qu'il provoque, il accélère la production de sucs gastriques et d'enzymes nécessaires à la digestion.

    Du côté respiratoire, les poumons sont mieux oxygénés, ce qui profite grandement aux anxieux, ainsi qu'aux personnes sujettes à l'asthme.

    Dans cette partie de nos recherches, nous avons constaté que le rire avait de réelles vertus thérapeutiques, dont tout le coprs bénéficie. Le rire participe donc à son bon fonctionnement.

     

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  • 3- Le fou rire

    Le fou rire est un rire incontrôlé, inapproprié et qui dure bien au delà du rire classique. A ne pas confondre avec le"rire fou" qui signifie le "rire dément". Le fou rire est l'étape que l'on franchit entre l'action de rire et celle de ne plus savoir s'arréter. Le fou rire est en réalité une sorte de crise de nerfs.

    Les neurologues n'ont pas encore découvert l'origine du fou rire et le mystère qui se cache sous cet acte incontrôlable. Cependant quelques hypothèses ont été envisagées pour expliquer le fou rire, comme la surproduction des substances chimiques créées par les neurotransmetteurs, mais ceci n'a, pour l'instant, pas été encore prouvé.

     Nous savons toutefois que le fou rire peut conduire à une maladie contagieuse et sans remède ainsi que le montre l'exemple qui suit.

     

    Une épidémie de rire a débuté le 30 janvier 1962 dans un pensionnat pour filles, dans le village de Kashasha, au Tanganyika (Tanzanie actuelle). En quelques semaines, ce qui a commencé comme une crise de fou rire chez trois jeunes filles se répand dans le reste de l'école, touchant 95 des 159 élèves, âgées de 12 à 18 ans.

    Les autorités décident de fermer l'école le 18 mars, mais le problème demeure : elle est réouverte le 21 mai, mais fermée à nouveau à la fin du mois de juin suite à l'apparition de 57 nouveaux cas. Aucun des cinq enseignants de l'établissement n'est affecté.

    Image parfois associée aux récits de l'épidémie

    Une dizaine de jours après la fermeture du pensionnat de Kashasha, un autre foyer se déclare au village de Nshamba. La maladie y a vraisemblablement été amenée par des filles fréquentant le pensionnat de Kashasha, renvoyées dans leur village durant la période de fermeture. Là encore, seuls les enfants et les jeunes adultes sont touchés.

    Un autre foyer apparaît également dans l'école de Ramashenye au milieu du mois de juin, puis dans le village de Kanyangereka, où a été envoyée une élève de l'école de Ramashenye. Sa soeur, son frère, sa belle-mère et sa belle-soeur sont les premières personnes affectées mais, bientôt, d'autres habitants du village le sont également et deux écoles situées à une quinzaine de kilomètres de là, doivent être fermées à leur tour.

    L'épidémie finit par cesser de se propager et se termine. Au total, elle a duré plus de six mois, a mené à la fermeture de quatorze écoles et a affecté plusieurs milliers de personnes dans la région du lac Victoria. Elle est aujourd'hui considérée avec intérêt en psychologie en raison de sa démonstration de l'aspect « contagieux » du rire.

     

    Les symptômes de cette maladie:

     

    Les descriptions de l'épidémie varient un peu d'un endroit à un autre, mais les éléments principaux restent inchangés. La plupart des personnes atteintes sont des enfants, même si quelques adultes ont également été touchés. D'après un article du Central African Medical Journal publié au cours de l'épidémie, seuls des adultes illettrés et peu éduqués de manière générale auraient été affectés : aucun enseignant, policier ou chef de village n'aurait développé des symptômes de la maladie.

    La « maladie » se déclare quelques heures ou quelques jours après le contact avec une personne atteinte. La victime se met soudain à rire, parfois jusqu'à en pleurer, suivie d'une période de répit puis d'une réapparition des symptômes. Chez certaines personnes, ce cycle se répète jusqu'à quatre fois.

     

    Ces symptômes s'accompagnent d'une agitation qui peut mener à des réactions violentes envers ceux qui cherchent à retenir la personne atteinte. Celle-ci dit parfois avoir peur et avoir l'impression que quelqu'un la poursuit.

    La maladie ne s'accompagne pas de symptômes physiques, en dehors de pupilles dilatées chez certains patients et de réflexes exagérés au niveau des membres inférieurs. Certains rapportent également avoir eu de la fièvre quelques jours après le début de la maladie.

    La maladie n'a causé aucun décès et n'a laissé aucune séquelle.

    Des recherches effectuées à l'époque ont écarté la possibilité d'une origine bactérienne, virale ou alimentaire à l'épidémie, qui semble avoir été un phénomène purement psychologique et qui est considérée comme un exemple d'hystérie collective.

     

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